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Dessinateur de presse: un métier sous pression (un article de Damien Glez sur SlateAfrique)

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L’Afrique célèbre le dessin de presse à Ouagadougou. Mais des «cartoonists» continuent de galérer entre aridité politique et sécheresse économique... 20 mars 2011. Kaïs al-Hilali, dessinateur libyen de 34 ans, caricature Mouammar Khadafi sur un mur. Il est abattu par un snipper. Pinceau contre[...]

ZUNAR, un cartoonist malaisien harcelé par les autorités de son pays

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(Dessin de Zunar, décembre 2011) Une récente exposition de ses dessins à Londres a permis de mieux faire connaître en Europe ce cartoonist malaisien lourdement censuré par les autorités de son pays... Dessinateur de presse depuis vingt ans en Malaisie, ZUNAR, de son vrai nom Zulkiflee Anwar[...]

A la rencontre du dessinateur Man, sous l’œil de ses maîtres

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A lire sur le site du Midi Libre, cet article de Vincent Coste (photo David Crespin) sur le dessinateur de presse Man (Manuel Lapert) : Ils veillent sur lui comme des protecteurs, des mentors, des figures tutélaires. Dans le petit bureau où travaille Manuel Lapert (Man pour ses fans et les[...]

Interview du dessinateur breton et bretonant Nono, sur le site de l'Eiris

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Entretien réalisé par Jean-Claude Gardes, responsable de l'Equipe Interdisciplinaire de Recherche sur l'Image Satirique A l’occasion de la présentation à la librairie Dialogues (Brest) de l’ouvrage qui lui est consacré par Paul Burel et Yves Quentel Nono – 40 ans de dessins en Bretagne[...]

Portraits de dessinateurs du monde arabe, une série de Vanessa Rousselot

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(le dessinateur Ali Ferzat) Comme on peut le découvrir sur le très intéressant blog de Damien Glez, "Poil à croquer", Vanessa Rousselot a réalisé (en partenariat avec France 24 notamment) des portraits de dessinateurs des pays du monde arabe. Cette auteur de documentaires a été plusieurs fois[...]

ANDRÉ GILL, LA CARICATURE ET L’ESPRIT DE PARIS, par Bertrand Tillier

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Le IIIe congrès de la SERD (Société des études romantiques et dix-neuviémistes) a porté sur « La Vie parisienne, une langue, un mythe, un style » et s'est tenu à Paris du 7 au 9 juin 2007. Dans les actes, édités par Aude Déruelle et José-Luis Diaz, on peut lire notamment une étude de Bertrand[...]

Qand Sepia (François Cavanna) dessinait dans Ridendo

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Entre 1953 et 1956, Cavanna n’est pas encore l’auteur que l’on connaît mais un modeste dessinateur trentenaire qui cherche, comme beaucoup de ses confrères de l’époque, à passer quelques dessins. « En épluchant les listes, on écumait tous les jours les pages "journaux, revues et bulletins" dans[...]

Charles-Marie de Sarcus dit Quillenbois (1821-1867), par Bernard Mamy

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Charles-Marie de Sarcus dit Quillenbois (1821-1867), un Caricaturiste discret Article à retrouver sur le blog de Bernard Mamy Second fils du Comte Jean-Baptiste de Sarcus, après des études en Province, Charles-Marie entre à l'Ecole des Beaux-Arts à Paris en 1839. Il est élève de Paul Delaroche[...]

"Souvenirs d'un caricaturiste", par Gilbert-Martin (7 mai 1887)

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En 1887, Charles Gilbert-Martin, fondateur du Don Quichotte, reçoit un ouvrage sur André Gill, décédé deux ans plus tôt. A cette occasion, le dessinateur annonce la publication de ses propres mémoires dans son hebdomadaire satirique, tâche qu'il met à exécution entre le mois de mai et le mois[...]

Petites biographies de quelques dessinateurs canadiens...

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BADO Bado est le nom de plume de Guy Badeaux. Né à Montréal en 1949, il y a travaillé pendant dix ans avant de déménager à Ottawa en 1981 pour devenir le caricaturiste attitré du quotidien Le Droit. Auteur de neuf recueils de ses propres travaux et lauréat du Prix national de journalisme 1991,[...]

Le jour des dessinateurs au "Rire" : identifications

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Heidbrinck (1852-1914), « Le jour des dessinateurs au Rire », Le Rire, 8/1/1898. Qui veut jouer avec nous ? Ecrire à : caricaturesetcaricature@yahoo.fr

Steinlen en images

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A découvrir, un site consacré aux oeuvres originales ou publiées de Steinlen. Classement par types de techniques ou types de supports, quelques lettres. Vaut le détour !

Émergence et évolution d’une profession artistique : les dessinateurs de presse entre 1880 et 1914 à Montréal

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A lire, le texte intégral d'un article en ligne bien intéressant de Stéphanie Danaux (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne / Université Paris Sorbonne-Paris IV) sur l'Émergence et évolution d’une profession artistique : les dessinateurs de presse entre 1880 et 1914 à Montréal (Canada) Début de[...]

Le "Journal Parlé" et les facéties d'Alfred Le Petit

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Ferry pot de chambre, par Alfred Le Petit... Dans son n°39 de Papiers Nickelés (4e trim 2013), Corinne Taunay, qui a soutenu une thèse sur les artistes Incohérents, signe un article sur une expérience tout à fait originale : le Journal parlé, chronique d’actualité mise en scène par des[...]

Nicolas Vial, le dessinateur du Monde "licencié"

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"Depuis 32 ans, Nicolas Vial illustrait les pages du Monde. Un coup de fil. Et puis plus rien. La faute à quelques dessins trop insolents ? D’accord, ce n’est pas le scandale du siècle. Plutôt un scandale à bas bruit, semblable à ceux dont sont quotidiennement victimes des milliers de salariés,[...]

« La Grande Guerre des cartes figurales », conférence de Laurent Baridon

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Conférence de Laurent Baridon : « La Grande Guerre des cartes figurales » mardi 17 décembre à 18h30, Auditorium de la HEAR, Strasbourg

 

Le genre de la carte figurale est probablement aussi ancien que la cartographie, mais il connaît un remarquable épanouissement entre 1870 et 1918. Le procédé qui consiste à apparenter les contours géographiques à des personnages correspond en effet aux idéologies nationalistes qui fondent la géopolitique européenne. Les périodes de tensions et de conflits favorisent la multiplication de ces représentations qui font s’affronter violemment des personnages emblématiques. Ces liens très forts au contexte historique ont trait à l’histoire de la propagande visuelle. Ils doivent cependant être précisés et relativisés à la lumière d’autres critères qui relèvent de la création, de la diffusion et de la réception de ces documents. Ils permettent de faire apparaître des éléments plus subjectifs qui traduisent une appropriation individuelle et sensible des événements historiques et de l’espace géographique.              

 

Laurent Baridon est professeur d’histoire de l’art à l’Université Lumière-Lyon 2. Il est l'auteur d'une importante étude, parue en 2011, sur le thème des cartes figurales : Un atlas imaginaire. Cartes allégoriques et satiriques. Paris, Citadelles & Mazenod.

 

Le programme de recherche « Lignes de front 1914-2018 » porté par l'atelier de communication graphique de la Haute Ecole des Arts du Rhin, propose une contribution des arts visuels à l'étude et l'interprétation du matériau historique laissé par la Première Guerre mondiale afin de révéler le rôle que joue la culture visuelle dans la construction de l’imaginaire commémoratif.

 

Auditorium de l’École supérieure des arts décoratifs

Haute école des arts du Rhin

1, rue de l’Académie, Strasbourg

Entrée libre

Le Salon de l’Araignée : un livre, deux expositions

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Le livre :

 

Emmanuel Pollaud-Dulian, Le Salon de l’Araignée 1920-1930, Michel Lagarde éditeur, 240 p., 35 €.

 

Les noms de Gus Bofa, Chas Laborde, Pierre Falké, André Foy, Joseph Hémard et Lucien Laforge ne manqueront pas d'éveiller la curiosité de ceux qui se passionnent pour le dessin satirique. Mais Emmanuel Pollaud-Dulian, dans ce superbe et passionnant ouvrage, ne s’intéresse pas au travail de ces dessinateurs pour la presse. Bien au contraire, car cette « jeune » génération d’artistes (par rapport aux Faivre, Poulbot et autres Léandre) a éprouvé le besoin de se détourner de la presse satirique et de son salon des Humoristes, en se réunissant autour d’un autre salon annuel, dit de l’Araignée, et en trouvant subsides dans le livre illustré de luxe. Car cette presse en quête de recettes graphiques et humoristiques à visées strictement commerciales, ne pouvait que brider ces jeunes talents désabusés par la guerre et ses horreurs, nourris aux avant-gardes bien que sans s’identifier à elles, et trop individualistes pour s’engager dans le combat politique (hormis Laborde).

 

L’auteur de cet opus à la mise en page élégante raconte par le menu l’aventure de ce Salon né en 1920 sous l’impulsion de Gus Bofa, qui aura fédéré dessinateurs et écrivains autant novateurs que talentueux, aujourd’hui oubliés, mais que l’époque contemporaine gagnerait à retrouver.

 

L’histoire de ce salon est inséparable de celle du livre de luxe illustré, secteur de l’édition particulièrement dynamique dans les années 1920 et qui décline dans la décennie suivante. A chaque support, son type d’image : les œuvres réalisées par les artistes de l’Araignée reflètent les préoccupations d’une élite. Les superbes recherches graphiques ne visent pas au rire facile des revues à caricatures ni à la « propagande » des journaux militants. Sans prétention politique ou morale, les dessinateurs réunis autour de l’Araignée cherchent surtout à partager leur regard personnel et original sur le monde, mais un monde sublimé, celui qui plait à leur élégant public : la ville moderne, le sport, la mode, les plaisirs noctambules, les voyages…(oeuvres visibles dans une très belle définition en cliquant ici)

 

En évoquant cette « bande » d’artistes en marge du dessin satirique, l’ouvrage rappelle combien ce métier de dessinateur de presse a pour principale caractéristique de n’en être pas vraiment un, le talent de ces créateurs d’images trouvant, à chaque époque depuis le début du XIXe siècle, à s’épanouir sur toutes sortes de supports, pour une très grande diversité d’usages et de publics.

 

GD, 15 décembre 2013

 

Expositions de dessins originaux :

-          jusqu’au 31 janvier 2014, galerie Michel Lagarde, 13 rue Bouchardon, 75010 Paris www.michellagarde.fr

 

-          Librairie Chrétien (178 Rue du Faubourg Saint-Honoré, 75008 Paris 01 45 63 52 66), du 12 décembre au 31 janvier 2014.

 

Voir quelques photos sur le site de l'illustrateur Jean-Marc Pau

 

Expositions à louer

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Expositions à louer

Médiathèques, mairies, centres culturels, établissements scolaires : diverses expositions conçues par Guillaume Doizy, auteur d'une dizaine d'ouvrages sur la caricature et l'image, vous sont proposées via le site Caricadoc...

Émergence et évolution d’une profession artistique : les dessinateurs de presse entre 1880 et 1914 à Montréal

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A lire, le texte intégral d'un article en ligne bien intéressant de Stéphanie Danaux (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne / Université Paris Sorbonne-Paris IV) sur l'Émergence et évolution d’une profession artistique : les dessinateurs de presse entre 1880 et 1914 à Montréal (Canada)


Début de l'étude :

Le 18 avril 1908, La Patrie célèbre l’inauguration de ses nouveaux locaux à Montréal en publiant un numéro spécial d’une cinquantaine de pages généreusement illustrées. À travers la lecture de plusieurs articles dont le ton oscille entre pédagogie et autopromotion, le lecteur découvre l’organisation complexe d’un grand quotidien. Sur la réalisation des illustrations, il peut lire :

    L’ILLUSTRATION
Un des caractères distinctifs du grand journal moderne est la place de plus en plus large qu’y tient l’illustration. Cette partie importante du journal requiert les services de plusieurs artistes dessinateurs et d’un photographe, qui ont leur salle de travail dans une pièce voisine des bureaux de rédaction. Ces articles [sic : artistes] ont besoin de posséder une habileté spéciale, et de pouvoir exécuter rapidement des croquis de tous genres, et même le portrait, car il se présente quelquefois des cas où le photographe ne peut opérer. Ils doivent aussi être versés dans la caricature et le dessin de composition, employé principalement dans les pages en couleurs.

Voilà ainsi notifiées aux lecteurs les quatre principales spécialités du métier d’« artiste de presse » à la fin du XIXe et au début du XXe siècles : le croquis ou l’illustration, au sens de dessin d’actualité ou de reportage politique, sportif ou mondain (voir annexes, fig. 1 et 2), le portrait, souvent anonyme et qui connaît un recul progressif avec la généralisation de la photographie (fig. 3 et 4), la caricature, qui peut être élargie au dessin d’humour et inclure les bandes dessinées (fig. 5, 6 et 7) et le dessin de composition, c’est-à-dire les couvertures associant dessin, lettrage et ornement, caractéristiques de La Patrie et de La Presse (fig. 8, 9 et 10). Les illustrations des romans-feuilletons et des publicités peuvent aussi constituer une partie de leurs attributions. D’emblée, la profession paraît difficile à définir, car elle regroupe des productions graphiques variées. Pour en désigner les représentants, nous privilégions l’expression « dessinateurs de presse ». La formule « artistes de presse », en vogue avant 1914, nous paraît en effet trop vaste, tandis que celle d’« illustrateurs de presse » se révèle trop restrictive. Plus opératoire, le terme « dessinateurs de presse » renvoie à un médium (essentiellement le dessin à la plume et à l’encre) et à un support (le journal), sans spécificité quant au motif ou au genre. Pour autant, le champ d’investigation couvert par cet article ne se concentre pas sur la production des dessinateurs dans la presse, mais sur la dimension sociale de leur activité. L’objectif est de poser les premiers jalons d’une recherche sur l’émergence de la profession de dessinateurs de presse, à partir de la question de leur formation, de leurs conditions de travail et de leur statut au Québec entre 1880 et 1914. Alors que le recensement de ces artistes reste à faire, les questions se multiplient. Quels sont leurs origines sociales, leur formation et leur parcours ? Quelles sont leurs aspirations ? Comment évoluent leur rôle et leur statut dans la hiérarchie du champ artistique ? Autant d’interrogations dont les réponses permettraient de préciser les conditions d’émergence de la profession et l’évolution de cette profession artistique. Sans prétendre répondre à toutes ces questions, cet article se propose de dresser un bilan des perspectives qui s’ouvrent au chercheur pour mieux connaître cette riche période de l’histoire de l’art. Pour restreindre son ampleur, nous le limitons à l’examen des parcours de douze artistes parmi les plus actifs : Henri Julien (1852-1908), Joseph Labelle (1857-1939), Albert Samuel Brodeur (1862-1933), Napoléon Savard (1870-1962), Jobson Paradis (1871-1926), Joseph Charlebois (1872-1935), Paul Caron (1874-1941), Ulric Lamarche (1867-1921), Edmond-Joseph Massicotte (1875-1929), Albéric Bourgeois (1876-1962), Georges Latour (1877-1946) et Émile Vézina (1876-1942). Tous sont francophones, même si certains, comme Julien, travaillent pour des journaux anglophones.
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Les Trente Glorieuses. Dessins de Gus et Tetsu Exposition du 18 février 2014 au 30 mars 2014

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Bibliothèque François-Mitterrand / Galerie des donateurs.

 

Exposition conçue par Martine Mauvieux.

 

Présentation des organisateurs :

C’est ainsi que l’on a pris l’habitude de désigner, à la suite de Jean Fourastié, la période du« redémarrage » de la France au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale. On associe cette époque prospère à des notions positives telles que « croissance économique »,« développement industriel », « accès aux biens de consommation pour tous », « société du loisir et du spectacle »,« baby-boom ». La Presse accompagne cet essor en affirmant sa liberté d’expression retrouvée pour le droit à l’information et la culture pour tous. De nombreux nouveaux titres voient le jour donnant libre cours aux différentes tendances politiques mais aussi ouvrant leurs pages à des genres plus futiles, projections de regards nouveaux sur le monde désormais insouciants et légers : la mode, le sport, le spectacle y compris la TV, l’humour, l’érotisme… Alors que cette nouvelle société « enchantée » développe en ombre portée une résistance critique (L’Internationale situationniste) qui annonce déjà les bouleversements des années 1970, de nombreux dessinateurs de presse, nés au début du XXe siècle, « accompagnent » cette nouvelle configuration sociétale, s’attachant davantage à décrire, non sans une tendre complicité, les comportements frivoles des nouveaux Français qu’à les dénoncer.
Ainsi, l’exposition qui présente conjointement deux ensembles de dessins : ceux de Tetsu (1913-2008) entrés par don en 2009 et ceux de Gus (1911-1997), entrés par don en 2013, permet de percevoir la constitution d’un monde volontairement superficiel, qui évoque par certains aspects, celui qu’a dépeint Tati dans ses films.
Voilà donc deux dessinateurs qui ont sûrement contribué à façonner et consolider la nouvelle image de la société française. Ils ont travaillé dans une soixantaine de journaux chacun, dont près d’une dizaine de titres communs (ParisMatch, La vie catholique illustrée, Clair foyer, Point-de vue-images du Monde, l’Os à moelle, Pariscope, Le Figaro Magazine, France Soir).Offrant au public, récemment acquis à la modernité émergente, un miroir plaisant - sinon complaisant - où un certain esprit de gaudriole tamisée anime de multiples saynètes, ils transcrivent l’essor d’une petite bourgeoisie sans souci majeur. Alternances de gentilles chamailleries de couples dans des intérieurs au design épuré ou dans des paysages bucoliques (la campagne, le bord de mer, évocation du plaisir de jouir de son temps libre, celui des congés payés) et de scènes plus audacieuses où se disputent absurde« surréalisant » et allusions aux actualités politiques. L’accent est mis sur plusieurs aspects phares de la modernisation: les nouveaux objets, symboles d’aisance et d’épanouissement (la voiture, la caravane, l’électroménager, la télévision) ; sur les nouvelles sorties attrayantes (les visites dans les salons de l’automobile, des Arts ménagers et les musées) ; la vie de bureau (embellie par la présence des charmantes secrétaires).C’est la peinture d’un monde heureux (curieusement sans enfants) où l’on sourit plus que l’on rit, où l’on se glisse doucement sans douleur comme dans un rêve aussi vite oublié.

 

Site François-Mitterrand

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